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Tout, tout de suite. Cela résume bien l’état d’esprit d’Homo Sapiens au 21é siècle.

Nos modes de consommation et nos style de vie nous pousse à faire toujours plus vite, à devenir toujours plus riche, à aller toujours plus loin, à faire toujours plus simple, à rendre toujours plus abordable, à devenir toujours plus libre... et la liste pourrait être longue.

Homo Sapiens est désormais un éternel insatisfait, incapable de se contenter de ce qu’il a. Il pense systématiquement que l’herbe est plus verte ailleurs.

Homo Sapiens devient de plus en plus individualiste, incapable de penser aux autres et aux générations futures. Il est motivé par l’assouvissement de ses besoins immédiats pour son petit confort personnel.

Homo Sapiens est maintenant déconnecté de la nature, incapable de lui rendre ce qu’elle lui a donné. Il préfère lutter contre son évolution plutôt que d’aller dans son sens.

Cette ère du “Toujours plus” a des conséquences dramatiques pour notre santé et celle de notre planète que nous ne pouvons plus ignorer.

Nous avons tendance à l’oublier mais le corps humain est une machine formidable : très complexe, elle est aussi très sensible aux variations des différents paramètres qui la régule comme l’alimentation, le sommeil, l’activité physique, la lumière, la température et bien plus. Il est évident que nos modes de vie actuels bouleversent son équilibre, provoquant différentes maladies chroniques comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’obésité, l’ostéoporose, le diabète, l’hypercholestérolémie...

Une étude récente de l'Organisation Mondiale de la Santé démontre que ces maladies chroniques sont devenues la première cause de mortalité dans le monde, représentant 70% des décès en 2019. Une proportion en très forte augmentation sur les 20 dernières années puisqu’elle était de 40% en 2000.

Tout s’accélère.

Les causes ? Les produits transformés, la malbouffe, les additifs, les pesticides, les antibiotiques, le stress, les écrans, le manque de sommeil, la sédentarité, les perturbateurs endocriniens, le sucre, la pollution atmosphérique... autant de facteurs de risque hérités de cette nouvelle ère du “Toujours plus”.

Il est prouvé scientifiquement que nos modes de vie actuels bouleversent l’équilibre fragile de l’écosystème planétaire, provoquant des phénomènes dangereux pour sa préservation et la survie des différentes espèces y habitant.

Le dernier rapport du GIEC met en évidence quelques statistiques effrayantes :

  • En 2022, une personne sur deux dans le monde subit déjà des pénuries d’eau liées au dérèglement climatique
  • En 2022, 50% des espèces vivantes étudiées sont déjà en train de migrer pour fuir les impacts du changement climatique
  • Le risque est élevé de voir une partie de l'Amazonie se transformer en savane si le réchauffement climatique excède +1.5°C (la tendance actuelle est de +3.2°C à horizon 2050)
  • Au cours de la dernière décennie, il y a eu 15 fois plus de morts à cause des inondations, de la sécheresse et des tempêtes dans les pays les plus vulnérables que dans les autres pays
  • Depuis 2008, on compte déjà 20 millions de déplacés climatiques internes (à l’intérieur de leur propre pays)

Tout s’accélère.

Les causes ? Principalement les émissions de gaz à effet de serre mais aussi la pollution des sols et des océans, la déforestation... et bien d’autres phénomènes aussi hérités de cette nouvelle ère du “Toujours plus”.

Face aux dangers pour notre santé et à l’urgence environnementale générés par nos modes de vie actuels, il convient de se poser la question suivante : comment en sommes-nous arrivés là ?

Voici plusieurs éléments de réponse.

  • L’ère du “Toujours plus” comme modèle de réussite social
  • La priorité donnée au développement économique, sans considérer les externalités négatives sur notre santé et l’environnement
  • Le coût économique inhérent à une vie plus saine et plus responsable
  • L’impossibilité de coopérer efficacement au niveau international en raison d’intérêts divergents
  • Le pouvoir des lobbies politiques et industriels
  • Un manque de communication et d’éducation des individus sur ces sujets
  • La politique de l’autruche consistant à ne pas vouloir voir la vérité en face
  • L’absence de responsabilisation des différents acteurs économiques qui attendent passivement que les autres impulsent le changement
  • Une société de plus en plus individualiste qui pousse chacun de nous à prioriser son petit confort personnel au détriment des intérêts collectifs et des générations futures
  • Personne ne sait par quoi commencer

Une chose est certaine, nous sommes tous responsables (états, entreprises, individus) et nous devons tous agir avant qu’il ne soit vraiment trop tard.

Le combat à venir est colossal. Il doit être mené à tous les niveaux de la société et à l’échelle planétaire. Il coutera beaucoup d’argent mais permettra aux générations futures de pouvoir profiter de cette magnifique planète dont nous disposons.

Chez acacia, nous sommes convaincus que la somme de petites actions individuelles permettra d’accomplir ces grands défis collectifs que nous ne pouvons plus ignorer.

Notre mission ? Vous permettre de devenir acteur des changements structurels nécessaires pour vivre dans un monde meilleur : plus sain, plus collectif, plus durable, plus respectueux.

L’application acacia vous permet donc de découvrir des centaines d’actions réalisables au quotidien pour améliorer votre hygiène de vie petit à petit, jour après jour. Chaque action est classée en fonction de sa complexité et de son impact afin de vous aider à les prioriser dans leur réalisation.